Un projet groupe qui a pour vocation de faire circuler les informations entre les plateformes du groupe. Ensuite il sera possible d’ouvrir vers des partenaires externes. Pour la montée en puissance de ce projet l’entreprise utilise le référencement naturel pour se faire connaitre. Fin mars, l’entreprise mesurera le gain des actions prises afin de voir s’il y a un début de dynamique. Aujourd’hui SIPA-Ouest-France détient 100 % de France Live. Mais ce projet a vocation à avoir son capital partagé avec d’autres entités hors groupe.
Migration Advantage : Selon l’investissement des salariés ayant participé, une prime leur sera versée en février.
Travail du week-end (7 personnes concernées)
Travail de nuit (15 personnes concernées)
Travail supplémentaire (20 personnes concernées)
Tutorat, un business bien rodé : La direction confirme recevoir de la part de l’AFDAS des subventions liées à l’exercice de la fonction tutorale. Nous savons tous que la majeure partie des alternants se trouvent à DCM. La CFECGC ne comprend pas pourquoi une partie de ces subventions ne tombent pas directement sous forme de prime dans les poches des tuteurs qui se donnent du mal pour former les jeunes aux différents métiers de l’entreprise. La CFECGC demande la mise en place d’une prime pour les tuteurs.
Transfert contrat Ouest-France vers SIPA : le mirage d’une rémunération équivalente.
Lors du CSE de novembre 2021, Mr Echelard nous avait dit : « Nous n’imaginons pas embêter un salarié, dont le départ à la retraite est proche, avec ce sujet. En ce qui concerne les salariés plus jeunes, nous prévoyons d’apporter des solutions sur mesure. Cela se fera dans le cadre d’échanges entre le salarié, son manager et le RRH. » Lors des premiers transferts nous avions entendu parler d’un sac à dos social. Effectivement pour les grosses rémunérations ça fonctionne, mais pour les salariés sans responsabilité c’est une autre histoire. Selon nos retours ils seraient perdants financièrement. Mais alors quel intérêt pour un salarié d’accepter un transfert de son contrat vers SIPA, s’il doit perdre de l’argent ?
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Distribution, les difficultés d’aujourd’hui.
Louis Echelard affirme que : » au regard des difficultés de recrutement des porteurs de journaux (400 postes à pourvoir chez nos dépositaires sur 4000 ), la rémunération des porteurs de journaux doit progresser «